Ramadan, le jeûne en Islam Sermons 2015

Le Ramadan, saison propice pour la réforme

hadrat-khalifatul-massih-al-khamis
Cinquième Calife de la Communauté Ahmadiyya en Islam

Sermon du vendredi 03 juillet 2015, prononcé par Sa Sainteté le Calife, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, à Baitul-Futuh, à Londres.

Il incombe aux croyants de se remémorer les commandements divins et aux missionnaires et aux responsables [de la communauté] de les rappeler aux autres. Il existe au sein de la djama’at – du niveau national jusqu’au niveau des quartiers – une organisation centrale ainsi que des branches auxiliaires composées de titulaires de postes. Ces derniers doivent être les bras droits du Calife et assumer ces responsabilités qui, à une plus grande échelle, incombent au Califat. Si tout missionnaire et responsable saisit ce point, la Communauté connaîtra un changement révolutionnaire.

Il incombe à ceux qui doivent faire ces rappels – qu’ils aient dédié leurs vies pour cette cause ou qu’ils soient des volontaires – de s’analyser en premiers. Respectent-ils les préceptes divins et en sont-ils des exemples afin de pouvoir des rappels aux autres ? Si leurs actions contredisent ces rappels ils doivent s’inquiéter et implorer le pardon divin. L’istighfar doit être un exercice constant, mais dans ce cas précis il faudra s’y consacrer davantage.

La responsabilité de ces rappels incombe à tout titulaire de poste et pas uniquement à l’Amir, au Président, au secrétaire, au missionnaire, au Sadr de l’Ansarullah, de la Lajna ou des Khuddam et à leur département de la Tarbiyyah respectif. Quelque soit son poste, que l’on soit responsable de l’hospitalité ou du sport, on doit, en tant que serviteur de la communauté, être un exemple pour les autres. Si tout le monde respecte cette consigne, cinquante pour cent des membres de la communauté ou plus respecteront les commandements divins, qu’ils s’agissent des prières en congrégation, des sacrifices ou de leurs devoirs à l’égard d’autrui. Tous ceux qui servent la Communauté doivent analyser jusqu’où respectent-ils les commandements divins. Ils doivent se les remémorer et s’améliorer avant de conseiller les autres.

Il incombe aussi à tout ahmadi d’étudier ces préceptes d’Allah et de les garder présents à l’esprit. Si nous suivons ce conseil une grande révolution s’opérera : nous pourrons nous réformer et enseigner aux autres les vraies valeurs éthiques.

Le Ramadan offre au croyant la grande opportunité de se réformer : il lui rappelle ses actes d’adoration ainsi que ses lacunes. Profitons de ce mois pour cibler nos faiblesses, pour nous rappeler les préceptes divins et effectuons, de notre mieux, notre réforme. Sans ces efforts suprêmes le Ramadan n’aura aucun effet moral et spirituel sur nous. Ne soyons pas comme celui qui s’excuse de ne pouvoir jeûner et prier au cours du Ramadan affirmant, dans le même souffle, qu’il n’est point fieffé mécréant au point de refuser l’Iftar. Ceux-là tournent la religion en dérision : plus qu’une blague, ceci dépeint amplement l’état déplorable des musulmans d’aujourd’hui, qu’Allah leur fasse miséricorde. Or, les disciples du Messie Promis (a.s.) doivent se trouver à des niveaux élevés. Ils ne doivent pas délaisser le jeûne sans raison valable et doivent accomplir, de leur mieux, leurs actes d’adoration, qui sont les buts du Ramadan. Le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) lisait davantage le Coran durant le Ramadan et l’Ange Gabriel le lui faisait réviser au cours de ce mois. Soyons plus vigilants quant à la lecture du Coran, cherchons-y les commandements divins pour les mettre en pratique.

La Salat-ut-Tarawih n’est pas obligatoire. Elle fut instituée aux cours du califat de Sayyidina Umar (qu’Allah soit content de lui) pour ceux qui ne pouvaient accomplir la prière Tahajjud. La Salat-ut-Tarawih leur permettait d’accomplir des prières Nawafil et d’écouter la récitation du Coran.

[En Europe] on a très peu de temps [durant la nuit], mais tous ceux qui jeûnent doivent se réveiller un peu plus tôt pour accomplir la prière Tahajjud. Quoique que la Salat-ut-Tarawih ou le Tahajjud ne sont pas obligatoires, les prières surérogatoires sont fortement recommandées durant le Ramadan. D’ailleurs le croyant est encouragé à accomplir la prière Tahajjud durant les jours ordinaires.

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Lisez davantage le Coran durant le Ramadan, car c’était là la pratique du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). La Salat et les actes d’adorations sont obligatoires pour le croyant et pendant le Ramadan il doit tenter de les embellir et se consacrer davantage au souvenir de Dieu. Si nos Salat et actes d’adoration comportaient des lacunes, nous devrons nous en débarrasser pendant le mois de jeûne. Le culte de Dieu est un précepte fondamental : nous en sommes davantage vigilants au cours du Ramadan afin de profiter de ses bénédictions et afin que nos prières soient exaucées. Sachons aussi qu’Allah connaît les tréfonds de nos cœurs : Il jugera nos actions par nos intentions. L’objectif de nos adorations et de notre présence à la mosquée doit être l’acquisition de la Taqwa. Nous devons aussi perpétuer toutes ces habitudes au cours de notre vie. Il en est de même de la prière Tahajjud ou d’autres Nawafil.

Allah affirme dans le Saint Coran :

يَا أَيُّهَا النَّاسُ اعْبُدُوا رَبَّكُمُ الَّذِي خَلَقَكُمْ وَالَّذِينَ مِنْ قَبْلِكُمْ لَعَلَّكُمْ تَتَّقُونَ

« Ô hommes ! Adorez votre Seigneur Qui vous a créés, vous et ceux qui étaient avant vous, afin que vous agissiez avec droiture » (Saint Coran, chapitre 2, verset 22)

Le Messie Promis (a.s.) affirme à cet effet : « Celui qui vous a créés mérite d’être adoré. C’est Lui le vivant, c’est Lui qu’on doit aimer. L’honnêteté exige une relation particulière avec Dieu ainsi que le mépris de tout autre que Lui. »

Dieu nous a créés, Il est l’Eternel et le Vivant. Il exauce les supplications, c’est Lui qui mérite tout notre amour. Or, la majorité d’entre nous néglige cette relation particulière, ô combien essentielle. Toute autre relation hormis celle-ci doit être méprisable à nos yeux. Profitant de l’influence du Ramadan d’aucuns avancent dans cette direction. Or, après le mois béni beaucoup arrêtent peu à peu leur voyage [vers Dieu].

Prouvons par nos actions que rien n’a de l’importance pour nous sauf Dieu. La Taqwa est nécessaire pour saisir ce point. Selon le verset cité plus haut, l’acte cultuel favorise la Taqwa, l’élévation spirituelle, la compréhension des attributs divins, compréhension qui rend insignifiant tout autre que Dieu.

L’attribut Rab présente Allah comme le Pourvoyeur, Celui qui fait évoluer graduellement Sa créature. Tout progrès futur de l’homme dépend de son Rab : suite à ses actes de dévotions, Celui-ci pourvoira à ses besoins matériels et spirituels. Cela sous-entend que s’il n’y a pas de progrès spirituel nos actes d’adorations comportent des lacunes. En conséquence, nous ne profiterons pas des faveurs spirituelles de notre Rab. Le progrès dans la Taqwa étend ces actes d’adoration au-delà du Ramadan : ils recouvrent l’année entière voire toute la vie.

Le Messie Promis (a.s.) affirme : « L’objectif premier de la création de l’homme est l’ibādah. Ceci a été énoncé en ces termes :

وَمَا خَلَقْتُ الْجِنَّ وَالْإِنْسَ إِلَّا لِيَعْبُدُونِ

« Et Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent. » (Le Saint Coran, chapitre 51, verset 57). L’ibādah signifie que l’homme doit se débarrasser de toute perversion et aplanir le champ de son coeur à l’instar du jardinier qui prépare sa terre [avant de l’ensemencer] ».

Le monde ne doit pas être votre objectif, déclare le Messie Promis (a.s.). L’homme a été créé pour le culte de Dieu, un acte qu’il néglige le plus.

D’aucuns se plaignent que des bénévoles ou des titulaires de responsabilités négligent les Salat, ne viennent pas à la mosquée. Certains ne prient même pas à la maison, selon leurs épouses. Cette situation est fort embarrassante. Il est important d’analyser ses actes d’adoration, sans quoi l’on ne pourra acquérir la Taqwa. Et sans Taqwa l’on ne peut s’acquitter de ses devoirs envers Dieu et envers les hommes ; l’on ne sera pas utile à la djama’at et ses œuvres ne seront pas bénites non plus.

Allah affirme dans un autre verset :

يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آَمَنُوا لَا تَخُونُوا اللَّهَ وَالرَّسُولَ وَتَخُونُوا أَمَانَاتِكُمْ وَأَنْتُمْ تَعْلَمُونَ

« Ô vous qui croyez ! Ne trahissez pas Allāh et le Messager, alors que vous trahissez si souvent vos charges et vous le savez. » (Saint Coran, chapitre 8, verset 28)

C’est un commandement important qui mérite notre attention. La traîtrise concerne toutes les œuvres, des plus importantes jusqu’au plus insignifiantes. Dans la deuxième condition de la bai’ah, le Messie Promis (a.s.) enjoint à ses disciples d’éviter la perfidie. Tout péché doit être considéré comme tel, qu’il soit grand ou petit. Or, il en est d’autres qui engendrent d’autres péchés et la perfidie en est un. Selon Dieu, le malhonnête endurci manque à sa charge et à ses obligations. Il ne s’acquitte point de ses devoirs envers Dieu et envers les hommes. Le perfide ne peut se vanter d’adorer Dieu, car le but du culte divin est la Taqwa. Celle-ci signifie s’acquitter de ses devoirs envers Dieu et les hommes par crainte et par amour pour Allah. Un perfide ne peut respecter les préceptes de la Taqwa et ses obligations : ses actes d’adorations ne seront pas agréés par Dieu non plus et il ne peut être qualifié de croyant.

Le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) affirme que la foi et l’incroyance ou la vérité et le mensonge ne peuvent coexister dans le cœur d’aucun homme. La vérité et le respect de ses charges sont donc deux signes de la foi.

Le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) affirme aussi qu’un croyant peut présenter tous les défauts hormis le mensonge et la trahison. Selon lui, le musulman respecte ces trois conditions : il est sincère dans son intention de servir Allah, il souhaite le bonheur de tout musulman et il ne se sépare pas de la Communauté des croyants. En somme, il respecte ses obligations envers Dieu et envers les hommes et est fidèle envers la djama’at.

Parmi les droits de Dieu se trouvent les charges qui ont été confiées aux titulaires de postes qui sont au service de la foi. Il leur incombe d’analyser, à la lumière de la Taqwa, jusqu’à quel point ils sont en train de s’acquitter, en toute honnêteté de l’office qui leur a été confié.

Négliger ses devoirs envers autrui est aussi perfidie, selon le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). Un musulman ne peut nuire à autrui par sa langue ou ses mains.

Le musulman ahmadi doit aussi respecter la Nizam-e-Jama’at ainsi que son serment d’allégeance. Il s’engage, d’ailleurs, lors de chaque réunion d’obéir à la Jama’at : il doit s’acquitter de cette charge au mieux de ses aptitudes. Il promet aussi fidélité et obéissance au Califat.

Les époux doivent aussi s’acquitter de leurs devoirs mutuels. À titre d’exemple, dans nombre de conflits conjugaux le mari refuse d’octroyer à son épouse sa dot. Le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) affirme : « L’homme qui se marie avec l’intention de ne pas payer la dot de sa femme commet l’adultère. Celui qui contracte une dette avec l’intention de ne pas la rembourser est un voleur. »

Selon le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.), est aussi un traître le musulman qui conseille son frère sans réfléchir. C’est-à-dire, tout avis donné sans qu’on ait pris en compte tous les facteurs [concerné] est de la traîtrise. D’aucuns ne donnent pas de bons conseils à ceux qui les consultent en toute confiance. L’honnêteté exige de s’excuser quand on ne possède pas le savoir nécessaire et de diriger l’autre vers un meilleur conseiller. Certains avocats offrent de mauvais conseils aux demandeurs d’asile ou ne s’intéressent guère à leur cas, même après avoir pris leurs honoraires. Ceux-là tombent dans la catégorie des malhonnêtes.

Le Messie Promis (a.s.) affirme : « Celui qui n’évite pas les regards lascifs, la malhonnêteté, la corruption ainsi que d’autres choses malsaines n’est pas de ma Jamā‘at […]. L’époux qui n’est pas fidèle à son épouse ou l’épouse qui n’est pas fidèle à son époux n’est pas de ma Jamā‘at. » (Kishti-Nuh)

« Celui qui lèse les droits de son frère est un perfide. Il ne croit pas dans l’unicité de Dieu », dit-il.

« Libas-ut-Taqwa est un terme du Saint Coran ; cela indique que la beauté spirituelle est tributaire de la Taqwa. La Taqwa signifie que l’homme doit s’évertuer à respecter toutes ses charges et tous ses engagements spirituels qui le lient à Dieu ; et il doit en faire de même concernant les charges et engagements qui le lient à la création de Dieu. Il doit s’appliquer à honorer les exigences les plus subtiles de ces obligations. » (Barāhine-Ahmadiyyah 5e partie, Ruhani Khaza’in, vol. 21, note de bas de page, p. 210)

Allah affirme dans le Saint Coran :

الَّذِينَ يُنْفِقُونَ فِي السَّرَّاءِ وَالضَّرَّاءِ وَالْكَاظِمِينَ الْغَيْظَ وَالْعَافِينَ عَنِ النَّاسِ وَاللَّهُ يُحِبُّ الْمُحْسِنِينَ

« Ceux qui dépensent dans la prospérité et dans l’adversité, et ceux qui réfrènent leur colère et qui pardonnent aux autres ; et Allāh aime ceux qui font le bien » (Saint Coran, chapitre 3, verset 135)

Selon ce verset, le croyant ne doit pas se contenter de s’acquitter de ses devoirs : il doit faire davantage et consentir à des sacrifices en certains cas. Une société où tout le monde pratique cette vertu est à l’image du Paradis. Tels étaient les compagnons du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) à propos de qui Allah déclare :

وَيُؤْثِرُونَ عَلَى أَنْفُسِهِمْ وَلَوْ كَانَ بِهِمْ خَصَاصَةٌ

«… mais ils donnent préférence aux autres sur eux-mêmes, bien qu’ils soient eux-mêmes dans l’indigence… » (Saint Coran, chapitre 59, verset 10)

Ceux qui agissent ainsi consentent à des sacrifices, refrènent leurs sentiments et souhaitent le bien des autres. Le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) nous en offre le plus grand exemple. Il pardonna même le meurtrier de sa fille.

Il conseilla aussi à ses compagnons de refréner leur colère, de pardonner et de faire le bien. Aisha (r.a.) son épouse rapporte qu’il ne s’était jamais vengé pour un tort personnel.

Le Messie Promis (a.s.) affirme : « Les Amis de Dieu sont vilipendés et âprement tourmentés. Or, ils ont reçu l’ordre d’éviter les ignares. Le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.), le Prophète Parfait, fut âprement persécuté, insulté et conspué. Or, lui, la personnification de la moralité, pria pour ses pourfendeurs. Allah avait promis de protéger son honneur et sa vie s’il se détournait des ignorants. Il en fut ainsi. Loin de pouvoir souiller l’honneur du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.), ses détracteurs tombèrent humiliés à ses pieds ou furent détruits. »

Quel est l’exemple du Messie Promis (a.s.), le serviteur parfait du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) à cet égard ? Maulvi Muhammad Hussain Batali témoigna en faveur des chrétiens lors du procès intenté par le Dr Martyn Clark contre le Messie Promis (a.s.). Molvi Fazl Din, l’avocat de Messie Promis (a.s), voulut affaiblir le témoignage de Muhammad Hussain en lui posant des questions humiliantes sur ses aïeux. Le Messie Promis (a.s) l’en empêcha quoique ses accusateurs qui voulaient s’en prendre à son honneur, voire à sa vie. Voilà comment, à son propre péril, il protégea la réputation de son ennemi.

Fazl Din Sahib n’était pas ahmadi. Il ne cessait de relater cet incident et de louer la grande magnanimité du Messie Promis (a.s.).

C’est ainsi que ce serviteur parfait du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) nous a montré comment refréner sa colère, pardonner et être bienveillant à l’égard d’autrui.

Le Messie Promis (a.s.) déclare à ce sujet : « Le croyant étouffe sa colère et il pardonne les malfaisants colporteurs d’absurdités. Il ne répond pas à leurs infamies par d’autres vilenies. »

« Cette djama’at a pour but d’orner la langue, les oreilles, les yeux et tous les membres du corps de la Taqwa, afin que sa lumière y soit à l’intérieur comme à l’extérieur, afin que ses adhérents fassent montre de hautes valeurs morales, afin qu’ils évitent toute colère injustifiée. »

« Or, je constate, dit le Messie Promis (a.s.), que nombre d’adhérents sont, jusqu’à présent, victimes de leur colère. Ils nourrissent rancœur et inimitié pour un rien et se querellent. Pareilles gens n’ont rien à faire dans ma djama’at. Est-ce aussi difficile d’écouter les insultes d’autrui sans broncher et sans répliquer ? La réforme de toute communauté débute avec les valeurs morales et la bienséance. De prime abord, il faudra faire preuve de patience. La meilleure méthode est de prier ardemment pour celui qui vous insulte. Priez qu’Allah le réforme et ne nourrissez point d’animosité à son encontre. Il existe une loi divine à l’instar de celle de ce monde. Pourquoi Allah abandonnera-t-il Sa loi quand les hommes s’accrochent à la leur ? Sans vous réformer vous n’aurez aucune importance à ses yeux. Allah n’aime pas qu’on remplace, par la cruauté, des valeurs aussi nobles que la bonté, la patience et l’indulgence. Vous rencontrerez Dieu en peu de temps si vous progressez dans ces valeurs. »

Qu’Allah nous permettent de faire épanouir et de perpétuer nos actes d’adorations et nos nobles valeurs au cours de ce mois. Ceux qui sont au service de la communauté doivent, en premiers, servir d’exemple, à la maison comme à l’extérieur. Sollicitez Dieu pour le progrès de la djama’at et pour qu’elle soit à l’abri des complots dangereux de ses ennemis. Tout en priant pour vos personnes suppliez aussi Allah pour la victoire de l’Islam.


(Le site www.islam-ahmadiyya.org prend l’entière responsabilité de la publication de ce sermon)

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