Sermons 2015

Signes du Mahdi : les éclipses lunaire et solaire – sermon du 20 03 2015

hadrat-khalifatul-massih-al-khamis
Cinquième Calife de la Communauté Ahmadiyya en Islam

Sermon du vendredi 20 mars 2015, prononcé par Sa Sainteté le Calife, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, à la mosquée Baitul Futuh à Londres.

En ce jour [du 20 mars 2015] une éclipse du soleil était visible ici au Royaume-Uni et ailleurs dans le monde. Lorsque survient ce phénomène le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) nous recommande de prier, de nous consacrer à l’Istighfar, de faire de l’aumône. Là où l’éclipse était visible, les djama’at ont reçu la consigne d’accomplir la Salat-Ul-Kousouf (la Salat de l’éclipse) en accord à la sunnah du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). D’ailleurs, les hadiths nous informent que les éclipses du soleil et de la lune comptent parmi les signes spéciaux d’Allah.

Selon le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.), les éclipses du soleil et de la lune [au cours du Ramadan] sont des signes grandioses attestant l’avènement du Messie [et du Mahdi]. Ces signes sont apparus à l’est comme à l’ouest en faveur du Messie Promis (a.s.). En somme, l’éclipse a une relation particulière avec la djama’at Ahmadiyya et son fondateur. Certes l’éclipse d’aujourd’hui n’est point un signe [attestant] de la véridicité du Messie Promis (a.s.), mais elle nous rappelle celles apparues en sa faveur.

Aujourd’hui nous sommes un vendredi, jour intimement lié à l’avènement du Messie Promis (a.s.). Le mois de mars nous rappelle aussi ce signe, car après trois jours, soit le 23 mars, nous célébrerons la journée du Messie Promis (a.s.). En somme ce mois, ce jour et cette éclipse évoquent pour nous l’histoire de la djama’at. Quand je préparais mes notes pour le sermon qui suit la prière de l’éclipse j’ai choisi d’évoquer le même thème dans le présent sermon.

Je présenterai des écrits du Messie Promis (a.s.) qui évoquent la prophétie du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) sur ces éclipses ; je mentionnerai aussi les récits de certains compagnons du Messie Promis (a.s.) qui se sont joints à sa djama’at suite à l’apparition de ces signes célestes.

De nombreux hadiths mentionnent la conduite du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) quand une éclipse eut lieu au cours de sa vie.

Asma (r.a.), une de ses épouses, raconte ceci : « Le jour de l’éclipse du soleil je visitai ‘Aisha (r.a.). Elle, ainsi que d’autres personnes, étaient en prière. Je lui en demandai la raison. Indiquant vers le ciel, elle prononça « Saint est Allah ! ». Je lui demandai s’il s’agissait d’un signe. Elle répondit à l’affirmatif d’un hochement de la tête. Je me mis debout pour prier. [La salat dirigée par le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) était si longue] que j’étais sur le point de m’évanouir. Je m’aspergeai la tête d’eau. Quand le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) termina la prière, il glorifia Allah et dit : « Il n’est aucune chose dont j’en ai été le témoin ici sur terre. J’ai vu le paradis et l’enfer. Dieu m’a révélé que vous serez éprouvés dans vos tombes : ces épreuves ressembleront à celles du Dajjal.

Ensuite on vous demandera : « Que savez-vous du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) ? » Le croyant ou celui qui est imbu de certitude dira : « Muhammad est le prophète d’Allah. Il nous a montré des signes et la direction. Nous l’avons accepté et nous l’avons suivi. »

On dira au croyant : « Repose en paix ! Tu es sans nul doute du nombre des croyants. » Quant à l’hypocrite ou celui qui entretenait des doutes, il dira : « J’ignore tout du Prophète. Je me suis contenté de suivre les autres. »

Le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) affirma que l’éclipse est un signe de la part de Dieu. Or, il n’a aucune relation avec la vie ou la mort de quiconque. Durant l’éclipse l’on doit prier et implorer le pardon de Dieu.

hadrat-khalifatul-massih-al-khamis

Le Messie Promis (a.s.) affirme à cet effet : « Je suis fort surpris de l’entêtement des mollahs qui refusent [d’accepter] la vérité en dépit des signes successifs [qui sont en ma faveur]. Ne voient-ils pas qu’Allah les fait échouer dans tout domaine ? Ils souhaitent ardemment que quelque soutien divin se manifeste en leur faveur. Or, les jours qui se succèdent attestent de leur infortune et leur déconfiture. L’Almanach annonçait les éclipses du soleil et de la lune au cours du Ramadan, on était en train de vivre les jours du Promis répétaient les uns et les autres. Tout ceci troubla les mollahs, car une seule personne s’était proclamée Mahdi : ils craignaient qu’on ne se tourne vers lui. Afin de le dérober aux regards les mollahs affirmèrent qu’il n’y aura aucune éclipse solaire ou lunaire au cours de ce Ramadan. Elles auront lieu quand l’Imam Al-Mahdi apparaîtra, prétendaient-ils.

Lorsque les éclipses eurent lieu, ils alléguèrent qu’elles n’étaient pas conformes au hadith. Selon eux, la lune s’éclipsera au cours de la première nuit du Ramadan et le soleil au milieu de ce mois. Dans la réalité l’éclipse lunaire eut lieu la 13e nuit et celle du soleil le 28 du Ramadan. Le hadith n’évoque pas la première nuit, car la première lune est appelée Hilal et non Qamar en arabe. Or, le hadith fait mention de Qamar. Ainsi le Hadith révèle que la lune se voilera au cours de la première des nuits pendant lesquelles elle peut s’éclipser, c’est-à-dire la 13 e. Le soleil s’obscurcira au cours des jours du milieu, c’est-à-dire, le 28. Les mollahs furent forts embarrassés après ces explications. Entêtés, ils présentèrent l’excuse suivante : un des rapporteurs dans la chaîne de narration ne serait pas digne de confiance.

Etant donné que la prophétie faite par le hadith s’est accomplie le doute concernant la chaîne de transmission n’a plus lieu d’être. L’accomplissement de la prophétie prouve qu’elle a été faite par un véridique. Insinuer que ce sont là les paroles d’un menteur reviendrait à rejeter ces évidences. Selon les experts en Hadith le doute ne peut obscurcir la certitude. La prophétie s’étant réalisée à l’époque où le Mahdi s’est annoncé est un témoignage sûr de la sincérité de celui qui a rapporté le hadith. Ce serait pure conjecture de la part des mollahs d’affirmer que le caractère [du narrateur du hadith] est douteux, car même des menteurs disent parfois la vérité. Cette prophétie et cette méthode sont avérées voire attestées par des érudits de l’école hanafite. Rejeter ce signe en dépit de toutes ces évidences est de la malhonnêteté, de l’obstination. Après cet argument sans réplique ils ont admis que ce hadith est authentique : mais, prétendent-ils, un imam promis apparaîtra bientôt. Selon eux il ne s’agit pas de moi [Mirza Ghulam Ahmad], mais de quelqu’un d’autre.

Or, cette réplique de leur part sera tout aussi irrecevable qu’infondée, car le hadith annonce que l’Imam apparaîtra au début du 14e siècle. Quinze années se sont écoulées sans qu’aucun Imam de leur [choix] se soit annoncé. [Pour se sortir d’affaire] les mollahs me traitèrent de Kafir : « ne lisez pas ses livres, disent-ils aux autres, n’ayez aucune relation avec lui, ne l’écoutez pas, car ses paroles influent sur les cœurs. »

Mais que d’avertissements ont-ils reçus ! Quelle humiliation ! Les éclipses dans le ciel, et la suprématie de la chrétienté sur terre, témoignèrent contre eux.

Le Messie Promis (a.s.) affirme : « Le signe des éclipses est apparu en ma faveur. Des centaines de personnes se sont jointes à ma djama’at après en avoir été témoins. Ces éclipses ont apporté pour nous la joie et pour nos ennemis l’humiliation. Pourront-ils jurer qu’ils désiraient que ces éclipses lunaires et solaires apparaissent quand je me suis proclamé Mahdi et que leurs effets ne soient pas visibles dans le monde arabe ? Leurs désirs irréalisés, ils avaient le cœur meurtri et connurent l’ignominie. »

Je présenterai ici-bas quelques récits des compagnons du Messie Promis (a.s.). Hazrat Ghulam Mohammad Saheb (r.a.) raconte qu’il avait pour voisin un certain Maulvi Badr-Oud-Din Saheb. « J’avais environs 15 ans et j’étais debout devant sa maison quand il y eut l’éclipse du soleil. Il s’exclama : « Saint est Allah ! Le signe de l’avènement du Mahdi est apparu ! » Maulvi Badr-Oud-Din Saheb embrassa l’Ahmadiyya. Il était d’une grande sincérité et très pieux. Après un an d’effort, ses parents et sa femme embrassèrent l’Ahmadiyya grâce à lui.

Hafiz Mohammad Hayat Saheb de Laliyan raconte qu’en 1894, après l’apparition des éclipses, nombre de gens affirmaient que l’Imam Mahdi est apparu et que le Jour Dernier est proche. Tous les récits évoquaient la peur de ceux qui appréhendaient l’avenir et le Jour Dernier. Hafiz Mohammad Lakhoukey avait lui mentionné les signes de l’avènement du Mahdi dans ses poèmes en langue Pendjabi. Mohammad Siddique Lali, maître spirituel et soufi de Lalyan, en fit aussi mention dans ses vers : « La lune s’éclipsera au cours de la 13e nuit et le soleil pendant le 28e jour ».

Dans tous les foyers on parlait de ces signes, on était à la recherche de l’Imam de l’époque. Durant ces jours, Maulana Taj Mohammad Saheb et d’autres aînés [de Lalyan] envoyèrent une délégation à Qadian pour rencontrer le Mahdi et s’assurer que les signes s’appliquaient bel et bien à lui. Ils lui prêteraient allégeance s’il était le Mahdi tant attendu. Sheikh Amir Din Saheb, Mian Saheb Din et Mian Mohammad Yar Saheb étaient les trois choisis pour cette mission. Ils partirent à pied, ayant pour seule provision une roupie cinquante. Selon d’autres récits ils n’étaient que deux : Mian Saheb Din et Sheikh Amir-ud-Din. Ils prirent la route en mars, le blé était sur le point d’être moissonné. Parcourant une quinzaine de kilomètres à pied par jour ils se contentaient, pour seul repas, de quelques épis de blé qu’ils réclamaient aux propriétaires des champs. Ils passaient la nuit dans les abris qui jonchaient leur chemin. Ayant parcouru deux cents kilomètres ou plus ils arrivèrent à Batala où ils tombèrent sur les élèves du Maulvi Hussain Batalvi. Les voyageurs leur demandèrent la route pour Qadian. « Celui qui s’est dit Mahdi est un menteur. [Qu’Allah nous en préserve]. Il n’a pas fait une, mais sept différentes déclarations. Laquelle accepterez-vous ? Retournez chez vous », leur dirent les disciples du mollah.

Sheikh Amir Din, qui était un illettré, leur donna une réponse fort juste : « Même s’il en a fait sept il est véridique. D’ailleurs il doit en faire d’autres. Vous êtes sept et je suis seul. Si je parviens à vous maîtriser tous les sept et à vous mettre à terre, serais-je une seule ou sept personnes différentes ? L’Imam de l’époque doit répondre à toutes les religions du monde, d’où la raison de ses différentes déclarations. » Les élèves du mollah étaient sans réponse : ils abandonnèrent les voyageurs sans leur indiquer, pour autant, la route pour Qadian.

Les chercheurs de vérité racontent : « Un peu plus loin nous tombâmes sur un Sikh qui nous offrit du thé et des biscuits. Nous lui parlâmes de notre rencontre avec les disciples du Mollah Muhammad Batalvi. Tout peiné il dit : « Je vous montrerai le chemin. Partez à Qadian. On raconte que Mirza Saheb dit la vérité. D’ailleurs nous le connaissons. » Le Sikh les accompagna sur une longue distance dans la direction Qadian, car il n’y avait pas de route praticable qui y menait.

Les voyageurs de Lalyan racontent : « A Qadian, nous trouvâmes le Messie Promis (a.s.) dans la mosquée Moubarak en compagnie de quelques oulémas non ahmadis et de divers Gaddi Nashin (successeurs de précepteurs spirituels). Le Messie Promis (a.s.) répondait à leurs questions tout en écrivant. D’ailleurs un de ses signes était qu’il allait écrire tout en parlant, comme s’il recevait, de l’invisible, des révélations. »

Le Messie Promis (a.s.) leur demandèrent où se trouvait Lalyan, qui se situe, pour ceux qui ne le savent pas, à environs une dizaine de kilomètres de Rabwah.

Le premier Calife était aussi présent dans la réunion : il était originaire Bhera qui est dans les environs de Lalyan. « Nous sommes voisins » indiqua-t-il au Messie Promis (a.s.). Les voyageurs décrivirent au Messie Promis (a.s.) leur itinéraire et l’incident avec les élèves de Batalvi.

« Voyez cette réponse fort à propos sortie de la bouche d’un illettré. Il lui a cloué le bec. Qui d’autre que Dieu lui a enseigné cette réplique ? »

Le Messie Promis (a.s.) répéta ces paroles à trois reprises. Il leur demanda de rester à Qadian pour quelques jours de plus. Ils accompagnaient le Messie Promis (a.s.) lors de sa marche, s’assurant par la même occasion que les signes mentionnés par les oulémas de Lalyan s’appliquaient à lui. Satisfaits qu’ils avaient atteint leur but, ils transmirent au Messie Promis (a.s.) les salutations du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.), lui demandant d’accepter leur allégeance. Quand le Messie Promis (a.s.) leur demanda de rester quelques jours de plus Sheikh Saheb, les yeux en larmes, lui montra ses pieds enflés. « Nous avons enduré peines et souffrances et nous vous avons accepté comme le vrai Mahdi. Nous ignorons combien de jours nous vivrons encore. Acceptez notre allégeance. » Et ils firent la bai’ah aux mains du Messie Promis (a.s.) dans la mosquée Moubarak.

Asadullah Quraishi Saheb rapporte que Qazi Akbar Saheb (r.a.) était affilié aux Ahl-é-Hadith avant d’embrasser l’Ahmadiyya. Il servait comme Imam et enseignait la religion aux gens de sa localité. Il savait que l’Imam Al-Mahdi était sur le point d’apparaître. Il en fit mention à ses élèves et ses amis après les éclipses du soleil et de la lune. »

Mian Manga Saheb raconte : « Après ces éclipses, Qazi Akbar Saheb (r.a.) affirma que le signe est apparu et que l’on devait se mettre à la recherche de l’Imam Al-Mahdi. […] Maulvi Burhan-Oud-Din Saheb envoya une lettre et quelques livres à Qazi Akbar Saheb (r.a.). Ce dernier fit d’ailleurs un songe avant de les recevoir. Dans son rêve il constata que le premier livre était empli d’immondices et était nauséabond. Il le jeta et ouvrit les deux livres restant : des rayons de lumières en jaillirent.

Un des livres qu’il reçut de Maulvi Burhan-Oud-Din Saheb (r.a.) mettait en doute les déclarations du Messie Promis (a.s.). C’est le premier livre qu’il ouvrit : quand il y lut les insultes à l’encontre de la personne du Messie Promis (a.s.), il le jeta pour étudier les deux autres ouvrages ainsi que la lettre. Ces derniers étaient en accord à ce qu’il avait vu dans son rêve. Il voulut connaître davantage et envoya une délégation de trois personnes à Qadian. Fidèle à ses habitudes, Maulvi Muhammad Hussain Batalvi leur barra la route. « Vous êtes de très loin ; vous ne connaissez rien de Mirza Saheb. Il ment ! Retournez chez vous ! Voilà le conseil que je vous donne », lâcha le Mollah. Il les accompagna jusqu’à la sortie de la ville. Mais les trois voyageurs repartirent dans la direction de Qadian où ils prêtèrent allégeance aux mains du Messie Promis (a.s.). Qazi Akbar Saheb (r.a.) fit sa bai’ah par courrier avant de le faire directement sur la main du Messie Promis (a.s.) à Qadian.

Le grand-père de Hazrat Maulana Abdul Ata Saheb Jhalandhari s’appelait Qazi Maula Baksh. Il était un prédicateur renommé des Ahl-é-Hadith. Quand les éclipses lunaires et solaires eurent lieu il en fit mention dans ses sermons, affirmant que l’apparition de l’Imam Al-Mahdi était proche. Or, il n’eut pas l’occasion de lui prêter allégeance. Ce fut son fils, Hazrat Mian Imam-Ud-Din Saheb, qui entendit parler de l’Imam Al-Mahdi et qui lui prêta allégeance.

Hazrat Ghulam Mujtabah Saheb (r.a.) rapporte que lors de son séjour à Hong Kong il eu entre ses mains une copie du Durré-Thamin, le recueil de poème du Messie Promis (a.s.). « L’époque dans laquelle nous vivions exigeait l’avènement d’un réformateur, disait-il. C’était là le vœu de toute personne douée de bon sens face aux dissensions qui régnaient entre les oulémas. Quand j’ai lu le recueil Durré-Thamin je me suis dit que si l’auteur est véridique ce sera là une chance inouïe [de pouvoir l’accepter]. Sinon il a atteint le sommet de l’imposture en ayant pu écrire pareil chef-d’œuvre. Je suis tombé sur l’ouvrage Izala-e-Auham du Messie Promis (a.s.), sans savoir comment il était parvenu jusqu’à Hong Kong. Je l’ai lu dans son intégralité, j’en parlé à l’Imam de la mosquée. Il avait à sa disposition [le recueil de prédictions de] Shah Nimatullah Waliullah qui nous informait que nous étions à l’époque du Mahdi. Après les éclipses lunaire et solaire mon père m’a dit que nous étions à l’époque du Mahdi. »

Qu’Allah guide les musulmans d’aujourd’hui afin qu’ils acceptent l’Imam de l’époque au lieu de s’opposer à lui.

Après la prière de Jummah, Sa Sainteté le Calife a dirigé la prière funéraire de Ahmad Yahya Bajwa de l’Allemagne. Il étudiait à laJamia Ahmadiyya de l’Allemagne et est décédé suite à un accident le 11 mars 2015. Il avait 27 ans. Il personnifiait l’essence même du Waqf. Le défunt maîtrisait l’art de conseiller les autres. Tous ces camarades de classe évoquaient sa grande humilité. Grâce à lui un employé de la Jamia, qui n’appartient pas au corps enseignant, a abandonné la cigarette. Qu’Allah exalte son statut et lui accorde Son pardon et Sa miséricorde.


(Le site www.islam-ahmadiyya.org prend l’entière responsabilité de la publication de ce sermon)